Voilà, ci-présent, un roman déconcertant,
Que si la prose peut encenser,
C’est de rimes, bien pauvres au demeurant,
Que naturellement, je viens vous en parler.
Nul doute après son introduction,
Que, pour cette fable écologiste, c’est d’Alexandrins
Dont Thomas Huray use pour sa partition,
Menant de vers en vers ces acteurs vers leur destin.
Un Monde qui se meurt, le nôtre,
Un Malfaisant symbolique usant de l’inconscience, la nôtre,
Un Bienfaisant, d’alliés de natures ou de chimérie s’entourant,
Un long chemin jusqu’à ce final affrontement.
Si la poursuite d’astres en astres,
De quelques répétitions aurait pu se passer,
Cette histoire de vers tissées,
M’a enchanté au pied de mon âtre.
De l’amertume de notre civilisation. Autodestruction.
A la mélodie de la nature féée. Admiration.
De notre culpabilité inavouable. Condamnation.
A cette ébauche d’espoir. Suspicion.
Venez partager cet ultime combat.
Vous unir à en mourir pour ne faire qu’un.
Venez un répit offrir à une Terre au plus bas.
Vous découvrir au creux de ces Alexandrins.
Si La Fée
De Thomas Huray
Editions Persée
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